Qu'est-ce que la confiance ?
La confiance, étoile-guide de nos choix et actions
Nos relations les plus importantes, aussi étroites soient-elles, ont besoin – et méritent – d’être aidées pour se consolider ou se maintenir. L’un de nos liens les plus forts et les plus importants est précisément la confiance. Il y a peu de dimensions psychologiques aussi vitales, nourrissantes et, en même temps, aussi complexes qu’elle.
La confiance en soi, l’un de ses niveaux, reflète la perception que nous avons de notre capacité à agir, à réussir quelque chose ou à prendre les bonnes décisions.
A a confiance interpersonnelle doit être comprise comme une compétence comportementale qui nous permet d’accepter ou de ne pas être vulnérables lorsque nous dépendons des actions d’autres personnes.
Imaginez si vous deviez visiter la cuisine avant de vous asseoir pour manger dans n’importe quel restaurant où vous allez. Ou si vous deviez voir le diplôme de chaque médecin qui vous soigne.
La confiance réside donc implicitement dans chaque activité que nous effectuons dans notre vie quotidienne.
Monter dans un taxi implique de faire confiance au chauffeur. Voter pour un candidat implique de croire que la cible de votre vote est capable de représenter vos idéaux. Déléguer, c’est gérer la confiance.
De cette façon, on peut comprendre comment la confiance affecte et est affectée par tous les domaines de notre vie d’une certaine manière.
Par exemple, il est très difficile d’être confiant au travail lorsque l’on traverse une période difficile de sa vie personnelle, comme un divorce ou une perte familiale ; Il est également difficile d’avoir confiance en sa vie personnelle lorsque l’on est dans une situation délicate au travail, comme une démission imminente en raison de résultats insuffisants.
Quand la confiance vient à manquer...
- Une organisation sans une forte marque de confiance perd son attractivité et voit l’engagement de ses équipes diminuer ;
- Un manager qui n’instaure pas la confiance dans son entreprise, manque l’opportunité d’obtenir de bonnes performances ;
- Un manager qui ne génère pas la confiance dans l’équipe, fait en sorte que ses employés se méfient de leur direction. employés se méfient de leur direction et ne parvient pas à ses objectifs ;
- Une personne sans confiance en soi sera sera guidée par ses peurs et non par ses besoins.
Sans formule magique, une méthode basée sur les études
Niveaux de confiance : quelles sont mes relations ?
Confiance en soi
C'est croire en son propre potentiel. La confiance en soi apporte un sentiment de conviction quant à sa propre capacité à réussir, quels que soient les contextes et situations extérieurs. Cela permet de décider puis d’agir avec courage et détermination.
Confiance donnée
Cela signifie croire en les autres, leur donner la possibilité de répondre aux attentes et les encourager à obtenir des résultats. Cette confiance est liée aux caractéristiques de la relation et ne se limite pas aux compétences techniques.
Confiance reçue
C'est sentior que les autres croient en vous et en votre capacité à obtenir des résultats. Elle est également liée aux caractéristiques de la relation et ne se limite pas aux compétences techniques.
Les dimensions de la confiance et leur dichotomies: que fais-je ?
Les dimensions de la confiance sont divisées en neuf leviers et leurs dichotomies sont séparées en deux catégories : celles qui favorisent la confiance et celles qui génèrent la méfiance, respectivement. Ce sont:
- Foi vs. Scepticisme ;
- Authenticité x dissimulation ;
- Pardon x rancune ;
- Empathie x indifférence ;
- Focus x dispersion ;
- Responsabilisation x victimisation ;
- Cohérence x incohérence ;
- Coopération x individualisme ;
- Apprentissage x immobilisme.
L’échelle de confiance : à quoi ressemble-t-elle ?
L’échelle de confiance définit comment chaque personne peut se rapporter à sa confiance en soi et peut être utilisée positivement ou négativement dans ses relations sociales. Elle se présente avec cinq degrés séparés par des pourcentages de confiance, comme suit :
- Méfiance/danger (0% – 20%) : À ce niveau de méfiance, la personne peut devenir hostile et réagir de manière agressive aux approches ;
- Méfiance/fuite (21% – 40%) : Dans ce cas, la personne peut se retirer ou même s’éloigner des autres en essayant de se connecter ;
- Prudence (41% – 60%) : Dans cet état, la personne peut prendre tout le temps qu’elle juge nécessaire pour évaluer ses décisions et prendre parti sur la manière d’interagir ;
- Confiance/Compétence (61% – 90%) : À ce niveau de confiance, la personne peut consciemment et systématiquement promouvoir des résultats en s’engageant de manière proactive ;
- Zone de confiance/AIC (91% – 100%) : Enfin, à ce niveau, la personne peut devenir arrogante ou naïve, ou simplement profiter d’une confiance consolidée.
Environnements les plus impactés : où cela se produit-il ?
Les environnements sont les endroits où les degrés de confiance (qu’ils soient élevés ou faibles) ont le plus de pouvoir d’impact, étant divisés en trois portées principales et leurs dérivations :
- Corporate: Organisation et travail; Hiérarchie; Equipe; Clients et Partenaires;
- Entrepreneur : personnel et professionnel
- Vie personnelle : famille et amis